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© mgab. / le carnet rouge 3
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viernes, 27 de mayo de 2011
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...on dit bien que le sable possède une singulière musique, que ses plus infimes grains creusent sans cesse l'espace, et que de leur lente friction naissent des sons inexplorés encore... et que ce pourrait être une autre version du silence.../...dicen que la arena posee una música singular, que sus granos más ínfimos horadan sin cesar el espacio, y que de su lenta fricción nacen sonidos aún inexplorados... y que esto podría ser otra versión del silencio...
4 comentarios:
le cinq va de l'avant meis le six se referme....est ce pour garder au fond de lui l'image de cette ville endormie sous les etoiles ?
pardon pour le "mais"
Preciosas esas cáscaras de cebollas que limpian a pesar de las lágrimas.
Mis besos a tu piel de melocotón.
Nan, tu as toujours des interprétations intéressantes. tu sais, quand on écrit c'est toujours un peu en 'écriture automatique', et ce n'est qu'après qu'on se rend compte du sens profond de certaines choses..
Virgi, cuando era pequeña leí un cuento que me entusiasmó: la historia de una niña que se hizo una colcha con cáscaras de cebolla para seguir oyendo su roce por la noche..
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