© mgab. / septembre, le pont.
Amaba las golondrinas por encima del mar
y no sabía por qué,
lluvia y viento izaban sus velas, de guerra
en guerra, contaba a las rosas salvajes sus
iras, los horizontes llevaban sus pasos hacia
el olvido, las arenas heridas destruían sus pasos
perdidos.
[Tahar Bekri. Los sueños impacientes]
Il aimait les hirondelles au-dessus de la mer
et il ne savait pas pourquoi,
pluie et vent hissaient ses voiles, de guerre
en guerre, il disait aux roses sauvages ses
colères, les horizons portaient ses pas vers
l'oubli et les sables blessés détruisaient ses pas
perdus.
[Tahar Bekri. Les rêves impatients]
.
y no sabía por qué,
lluvia y viento izaban sus velas, de guerra
en guerra, contaba a las rosas salvajes sus
iras, los horizontes llevaban sus pasos hacia
el olvido, las arenas heridas destruían sus pasos
perdidos.
[Tahar Bekri. Los sueños impacientes]
Il aimait les hirondelles au-dessus de la mer
et il ne savait pas pourquoi,
pluie et vent hissaient ses voiles, de guerre
en guerre, il disait aux roses sauvages ses
colères, les horizons portaient ses pas vers
l'oubli et les sables blessés détruisaient ses pas
perdus.
[Tahar Bekri. Les rêves impatients]
.