viernes, 25 de abril de 2008

la voleuse

© Neda Doany. The Random Order of Things.




Ce beau collage de Neda Doany —artiste vivant aux États Unis— a été 'kidnappé' par R. A. G. et affiché dans PHOTOBUCKET. je le dis ici bien haut comme première réaction, que je voudrais massivement suivie, à un nouvel abus de certains usagers d'internet qui se croient tout permis et abusent impunément de ce qu'ils trouvent sur la toile et trouve grâce à leurs yeux pour 'faire de l'argent' facile et rapide.


soyons tous alertés face à ce genre de prédateurs et faisons tout le possible pour les démasquer et les poursuivre. sinon, ce monde merveilleux ne tardera pas à sentir lui aussi le pourri...


aux dernières nouvelles, R. A. G. vient de retirer les deux oeuvres 'kidnappées'.


este hermoso collage de Neda Doany —artista afincada en EE.UU.— ha sido 'secuestrado' por R. A. G. y colgado en PHOTOBUCKET. Lo digo aquí alto y claro como primera reacción, que quisiera masivamente seguida, a un nuevo abuso de ciertos usuarios de internet que se creen que les está todo permitido y abusan de forma impune de lo que encuentran en la red y les gusta para 'hacer dinero' fácil y rápidamente.

estemos todos alertas frente a este tipo de depredadores salvajes y actuemos para descubrirlos y perseguirlos en la medida de lo posible. sino, este mundo maravilloso no tardará mucho en oler él también a podrido...


últimas noticias: R. A. G. acaba de retirar las dos obras 'secuestradas'.

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miércoles, 23 de abril de 2008

les visages

© mgab. / los rostros [sobre fotografía de Roberto Botija]. de le livre bleu et rouge.



Pessoa pourrait être cet homme bleui de muettes et infinies interrogations, bleui d'impossible communication avec l'univers de ses semblables, si différents et lointains. un homme bleu s'interroge toujours, quelque part, à propos de ce mal qui le ronge et le prend à la gorge, chaque fois que l'émotion du monde le viole et le flagelle, impunément, en secret, au profond de lui.

Pessoa podría ser este hombre azulado por mudas e infinitas interrogaciones, azulado por su imposible comunicación con el universo de sus semejantes, tan diferentes y lejanos. un hombre azul se pregunta siempre, en algún lugar de si, acerca de ese mal que lo roe y lo ahoga, cada vez que la emoción del mundo lo viola y lo flagela, de forma impune, en secreto, en el extremo fondo de su ser.

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